IDEE !
Pourquoi ne pas transformer les cimetières en jardins ouvriers.
Les temps sont durs, plusieurs avantages sont envisageables.
Fournir de la terre à cultiver pour certaines personnes qui pourraient ainsi ajouter des épinards à leur beurre.
Travailler cette terre, forte en engrais organiques, très bons pour les pieds de tomates par exemple.
Rapprocher l’homme de la terre.
Il y aura moins de trajet à faire pour un travailleur qui va devoir s’user jusqu’à soixante dix ans. Economie du cercueil devenu inutile puisqu’on pourra enterrer l’heureux propriétaire devenu propriéterre sur les lieux de son travail sans être obligé d’utiliser aussi un moyen de transport polluant. Les fleurs seront déjà sur place, et la terre meuble à souhait.
Après avoir planté des épinards ils pourront sucrer les fraises et engraisser les pissenlits par les racines.
Du producteur au consommateur. Après une période dite de jachère, pour favoriser la décomposition activée et une nouvelle fertilisation biologique, un nouvel arrivant pourra venir s’éclater momentanément avant de péter définitivement.
On pourra même favoriser le travail de la terre par les personnes d’une même famille et assurer ainsi un héritage génétique.
On pourra même envisager de valoriser les monuments funéraires pour les reconvertir en habitation pour les personnes seules et apporter ainsi une nouvelle pierre au problème du logement, et puis surtout les bénéficiaires de ces nouvelles terres seront sur place.
Elle n’est pas belle mon idée ? Si ça c’est pas du pragmatisme !