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2 février 2011

FEMME, QUE J'AIME !

Banalisation de la femme. La femme est devenue une marchandise. Avec ou sans son consentement .....

Une nouvelle société, qui, au lieu de lui donner l'égalité espérée est en train de lui conférer un statut de marchandise. Au nom d'une émancipation annoncée, elle est devenue un objet qu'on peut acheter, vendre, et au besoin voler et pire même violer, si on ne peut pas se l'approprier.

On l'attaque pour s'en servir pour son plaisir, on veut la posséder, même au besoin en usant de  la force.  On s'en servait déjà à toutes les sauces, c'est horrible, mais elle est en train de devenir une chose. Déjà faire valoir du mâle et distraction inventée pour lui permettre de rompre l'ennui des premiers jours de la création, cet accessoire qui, originellement, n'était même pas fait pour le plaisir, mais uniquement pour la reproduction, est devenu celui de la promotion de la grandeur et de la puissance de son maître.

Montre-moi ta gonzesse et je te dirais qui tu es. Ma Rolex, ma tire, et celle que je tire ! Simplification !

Ou on l'étale pour appuyer son statut social ou on la cache pour son besoin personnel. Perte de l'identité ! La femme est devenue un sous homme, une esclave. Son image est même confondue avec celle représentée dans les films pornos. Ceux qui attaquent sa vertu la défendent lorsqu'elle est sous leur pouvoir. Elle devient la grande sœur qui faut protéger ou la pute qu'on méprise. D'ailleurs qu'elle se refuse ou qu'elle cède, elle est toujours la salope de service.

Je pensais, naïvement peut-être, comme le disait le chanteur, qu'elle était son avenir.

Mais, certains ont très bien compris qu'il fallait voiler la petite sœur pour l'empêcher de se dévoiler et d'envoyer paître tous ces préjugés éculés. Mais que dire de cette autre société qui se veut le pendant de la première, en affichant la liberté et qui utilise cette même affiche pour la dévoiler et la rendre esclave pareillement en se servant de son corps pour affirmer sa supériorité. Oh, j'entends les réponses de certaines qui vont me dire que la femme y trouve des compensations, une certaine liberté, un certain confort. Comme les animaux dans un zoo....      

"Pour accoucher sans la souffrance. Pour le contrôle des naissances. Il a fallu des millénaires."

Oui mais, pour la faire taire, il n'a fallut qu'un seul instant, l'espace d'un voile jeté sur le temps

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Commentaires
Z
Qui peut me dire, pourquoi, à chaque fois que l'on me parle de la Chine, j'ai la vision qu'un film qui m'avait ému lorsque j'étais toute petite (hier, quoi... !) "Le cerf-volant du bout du monde" Bizarre, vous avez dit bizarre ?
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J
Il me revient, sur la condition féminime en Orient<br /> un film La Lanterne Rouge d'un Japonais.<br /> Les cinéphiles de Ritonie pourront vous en dire plus.<br /> Pour moi, inoubliable.
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J
...manquent à un point tel que dans certains villages reculés, il n'y en a plus et que parfois, plusieurs hommes se "cotisent" pour "acheter" une femme. Un harem à l'envers, en quelque sorte, mais pour la femme, ce n'est pas un choix.
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J
C'est un livre que j'ai lu il y a longtemps mais dont je garde le souvenir, la vie des Chinois du peuple ne valait rien. Mao, leur a promis un bol de riz, et cela a été tenu........pour nous un bol de riz ce n'est pas grand chose, mais quand on meurt de faim, cela change tout.<br /> Je sais bien que l'on peut critiquer le manque de liberté ...... mais est-on libre dans la misère ?<br /> La condition humaine de Malraux, aussi présente un aspect de la situation.<br /> Je précise que je ne suis pas Maoïste, et que même je ne suis pas "branchée" Chine, mais j'aime m'informer.
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T
Je ne juge pas, je fais part de ce que j'ai pu lire sur le sujet. Je vais essayer de me procurer l'ouvrage dont vous parlez.<br /> J'aime bien les histoires chinoises.<br /> Du temps des seigneurs de guerre ça devait être une belle pagaille. Est-ce qu'il parle du sort des femmes ?
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