UN DINER PRESQUE PARFAIT A METZ ! IC
Il y a neigé sur Cannes, nous étions le jeudi 11 février, que fait le gouvernement, merde !
En plus, à part la une, rien, pas d’autres chaînes, oubliés du monde, coupés de toute civilisation, nous sommes les ignorés d’un système qui laisse mourir ses palmiers sous la poudreuse pendant qu’aux futurs JO ils doivent la faire venir par hélicos.
Vingt centimètres, les routes coupées, mon jet qui ne peut plus décoller pour aller chercher mes enfants à l’école en Suisse, et en plus, ils ne sont même pas pensionnaires. Qu’allons-nous faire ? Non, je ne suis pas Arthur, vous avez entendu la chronique de D.Porte ?
Je vais essayer de faire la soirée de Véronique avec le peu de ce que j’ai pu voir entre chaque coupure. A moins de trouver un replay. Chez le même qui m’a aidé. J’en parle plus bas !
Je voulais en avoir le cœur net, et puis aussi, je voulais vérifier certaines choses, certaines phrases mal notées. J’ai eu raison ! Abusus non tollit usum !
Quid novi ?
Ce nouveau post, bien sûr !
Pendant que revoyais ce dîner, merci à toi noble étranger ami, qui me prêta sa lucarne avec son replay pratique et non moins agréable, une situation me sauta aux yeux !
Je remarque, j’emploie le présent, c’est bien plus mieux, donc, je note que les candidats font souvent les courses le jour de l‘émission, alors qu’ils pouvaient les faire la veille, (y-a-t-il une loi ou un alinéa qui l’interdise ?) et qu’ils préparent des petites choses, la veille, alors qu’ils n’en ont pas le droit !
« Je n’ai pas acheté mes lardons à la boucherie, parce que je les veux très fins ! »
J’espère que son patron ne va pas lui en tenir ombrage !
En cuisine, elle prépare ses quiches, les met au four et nous dit qu’elle va s’attaquer au gratin et l’enfourner, alors qu’il était déjà prêt sur la table pendant que les quiches n’étaient pas dans le four ! Pourquoi ces erreurs de montage ?
« Comme en mai 79, après le match de foot quand on rentre à la maison. » cette phrase de Philippe m’était apparue comme un message codé, lundi soir, j’ai voulu la réentendre pour essayer de comprendre, mais je donne ma langue au chat, en espérant quelques explications.
Je n’avais pas remarqué non plus la nappe en papier sur la table de l’apéritif, ni les nains de jardin.
Mais je vous présente mes excuses les plus plates et spécialement à Damgoudic qui me l’a fait remarquer, car il y avait une bouteille de vin sur la table.
Confiteor Damgoudic, mea culpa, mea maxima culpa. Au détour d’un résumé, elle se tient fièrement à côté de David, vision très furtive, j’en conviens, mais j’aurais également du voir que le verre de Philippe contenait ce breuvage.
Je l’avais noté, mais pas signalé dans le post, mais ça valait la peine de s’en assurer.
Car « Le dessert, en quantité de sucre, c’était bien trop z’élevé ! » cet aveu de Véronique sera mon point final, avec une constatation ; ‘Errare humanum est’ !