ILS SONT MALADES, MALADES !

Faut-il être malade pour faire du sport ?

Le sport, tel un ‘Lourdes’ miraculeux moderne, guérirait-il de toutes les maladies ?

Question existentialiste, philosophie sportive.  Je suis malade, suis-je prédisposé pour faire du sport ?

A voir l’état physique de beaucoup de sportifs, j’en viens à me poser ces questions fondamentales.

A moins, que le corollaire : le sport rend-il malade, s’avère lui aussi exact ?

Lorsqu’on constate qu’un coureur italien n’arrive pas à comprendre la raison pour laquelle son sang comporte des traces d’EPO, on se dit que ‘les antibiotiques, c’est pas automatique !’Et qu’il ne faut pas laisser son sang traîner de partout. Quelqu’un risque de le polluer, et c’est très mal ! ah non alors.......

Avec une maladie dégradante, on peut ainsi continuer à faire du sport tout en se soignant. Tout médicament suspect devient alors curatif et non de confort. Il vaut donc mieux être très malade et ne rien risquer, certains sont même allés jusqu’à ce qu’on appelle, une longue maladie.

Faut-il faire deux compétitions ? Une pour les propres, sans dope, et l’autre, open, no limite ?

S’apercevrait-on alors, que les malades ont disparus ? Certains ne seraient alors plus étonnés de constater que leur sang était changé, chargé. (Rayez la mention inutile.)