VAE VICTIS !
Des gogues d'un dîner au confessionnal du blog, il n'y a qu'une épaisseur d'un papier que certains veulent franchir sans se mouiller les pieds. Pourquoi vouloir se justifier ? Nous ne sommes que les témoins ponctuels d'une fable qu'on veut nous raconter. D'autres, comme Racine dans Phèdre ou même Horace et plus tard La Fontaine, ont su nous la conter, mais cette grenouille qui s'engraisse est l'éternelle histoire de la vanité. Il n'est rien de pire que l'ambition et de celui qui pour paraître devient un glouton. Dans tous les sens du terme aujourd'hui, cette Aïcha vient nous narrer l'épisode ultime de ses compromissions. Pourtant, demain, elle sera oubliée comme tous les guignols qui se sont succédés. Gloire éphémère, renommée provisoire, désir de paraître, mais à trop vouloir péter plus haut que son cul, un jour, c'est sûr les retombées seront fétides. Quand joue-t-elle la comédie ?
Mais on s'en fout complètement, demain nous aurons tourné la page, apparaitront sur l'écran de la recherche de la popularité, d'autres personnages en quête de renommée. Et la grenouille retournera dans le coin des recalés, dans la masse des inconnus dont même les noms auront disparu. Vanitas vanitatum et omnia vanitas .